Le concept du Green IT (informatique verte) a été inventé en 1992, lorsque des efforts ont été déployés pour aider les organisations à économiser de l’argent et à réduire les émissions de gaz à effet de serre en présentant des options à haut rendement énergétique. La virtualisation, les réseaux écologiques, l’informatique en nuage et la reconfiguration des centres de données sont d’autres composantes de l’informatique verte.
1. La pollution numérique : Qu’est ce que c’est ?
Toute forme de pollution environnementale causée par les outils numériques est considérée comme de la pollution numérique. Cette pollution comporte deux volets : le premier concerne la fabrication des outils numériques, le second le fonctionnement de l’internet.
De plus en plus de personnes s’intéressent à l’impact environnemental de l’internet et du secteur numérique. On proclame même aujourd’hui que le pire des pollueurs est celui qui est connecté. Pourtant, le secteur numérique contribue de manière significative aux émissions de gaz à effet de serre. Il consomme également beaucoup de ressources et produit différents types de pollution.
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Les usages numériques permettent également de faciliter l’échange d’informations, de communiquer instantanément, de mieux partager. Il y a donc moins de perte de temps et de papier. Le travail partagé et collaboratif se fait plus efficacement.
Que pouvons-nous faire pour améliorer l’efficacité du numérique ? De quelle manière peut-on réduire la pollution numérique et ses effets négatifs sur l’environnement ?
Il n’est pas rare non plus que les écologistes utilisent l’impact environnemental du numérique comme argument contre toute personne possédant un profil Facebook ou un smartphone. Il est évident que les acteurs du numérique sont souvent actifs dans la promotion des énergies vertes et qu’il existe de nombreuses mesures efficaces pour réduire la pollution numérique.
2. Green IT : qu’est ce que c’est ?
La pratique de l’informatique durable est appelée informatique verte ou technologie de l’information verte.
Dans le cadre de l’informatique verte, les produits et services se conçoivent, se produisent, s’exploitent et s’éliminent d’une manière respectueuse de l’environnement afin de minimiser leur impact négatif. Dans le cadre des pratiques de TI vertes, les matières dangereuses sont réduites au minimum, l’efficacité énergétique est maximisée et les produits sont rendus biodégradables.
3. Green IT : ses périmètres d’actions
Avez-vous déjà entendu l’expression « numérique responsable » ? Laissez-moi vous dire qu’il ne s’agit pas seulement d’atténuer les effets de l’informatique sur l’environnement. En effet, il s’agit également d’aborder les aspects sociaux et économiques de la technologie pour une personne et une société. Au fil du temps, les gens ont commencé à utiliser le mot « durable » dans une perspective environnementale.
Le numérique responsable se divise en trois catégories. Les voici :
Green IT 1.0
Avec ce modèle, l’objectif est de réduire l’empreinte écologique, économique et sociale de l’informatique par une amélioration continue. Il s’agit d’une approche des produits numériques qui intègre les performances environnementales et sociales.
Green IT 1.5
Il s’agit de réduire physiquement l’empreinte écologique, économique et sociale d’une entreprise en l’améliorant continuellement. La France n’a pas encore réussi à réduire ses émissions de gaz à effet de serre dans deux domaines critiques : Le nombre de kilomètres parcourus par ses employés et la surface de ses bureaux.
Dans Green IT 1.5, l’objectif est de soutenir la stratégie de développement durable de l’entreprise en proposant un logiciel qui suit sa stratégie RSE, c’est-à-dire sa gestion et son reporting. Il évalue également l’adhésion au Développement Durable des fournisseurs de l’entreprise, les achats, et autres exigences réglementaires. En déployant tous ces outils, la SIDD se crée.
Green IT 2.0
Grâce à la technologie numérique, l’économie, l’environnement et la société peuvent être améliorés en réduisant l’empreinte économique, écologique et sociale d’un produit ou d’un service. Par exemple, l’ajout d’une fonction d’écoconduite au GPS de votre voiture. Nous nous intéressons ici à la réduction des impacts commerciaux dus aux TIC. Dans le cas d’un nouveau modèle radical et non d’une simple optimisation, on parle d’éco-innovation de rupture.
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4. Réduisez votre empreinte numérique
En tant que numérique responsable, vous devez réduire vos empreintes numériques pour sauver vos données des mauvaises mains. En effet, pour une utilisation verte et sûre, supprimez tous les comptes précédents et ne mettez pas de données sur d’autres sites. Enfin, en matière de gaspillage informatique, réduisez vos produits numériques.
5. Pour conclure,
En conclusion, l’objectif de l’informatique verte est d’atténuer les impacts négatifs des processus informatiques sur l’environnement, la société et l’économie par le biais de managers conviviaux.
Contactez nous afin que nous puissions vous aider à mettre en place les indicateurs pour réduire votre empreinte écologique et former vos collaborateurs aux bonnes pratiques.
L’équipe ArpeJe
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